Vous devriez prendre le temps de préparer la sortie parfaite.
Présentation du parcours de la relève
Savoir quand vendre votre entreprise peut être l’une des décisions les plus difficiles de votre carrière. Les signes ne sont pas toujours évidents : certaines personnes planifient pendant des années, tandis que d’autres font face à des circonstances inattendues qui accélèrent le processus. Pour que le tout semble moins intimidant, nous nous en sommes remis à la sagesse de deux conseillers qui ont vendu leur entreprise à IPC. Ils nous font part de leur parcours de relève unique et nous révèlent la manière dont ils ont su que c’était le bon moment de vendre.
Hésitations et défis initiaux
Lorsque Greg Farries a commencé à explorer l’idée de vendre son entreprise, il ne se sentait pas prêt. « J’avais de la difficulté à trouver quelqu’un pour me remplacer et je cherchais depuis au moins cinq ans. Il n’y avait personne à qui je faisais assez confiance pour confier ma clientèle et mon personnel », explique-t-il. Son partenaire d’affaires, son équipe et lui formaient un groupe uni et ils faisaient toujours les choses à leur façon. Il ne pouvait pas imaginer qu’une autre personne prenne les rênes.
Toutefois, à l’approche de l’âge de la retraite, Farries, un conseiller chevronné d’IPC, trouvait plus difficile d’attirer de nouveaux clients. Sa clientèle vieillissait et il ne pouvait pas promettre aux prochaines générations qu’il travaillerait encore 15 ans. « J’étais en mode “Attendre”, explique-t-il.
« Ne précipitez pas des choses que vous pourriez regretter plus tard. « J’ai mis deux ans à signer l’entente, et je n’ai aucun regret. »
Surmonter la résistance et trouver son aise
Néanmoins, lorsqu’IPC a approché son partenaire et lui pour parler de la vente de son entreprise, il a résisté. « Je savais que mon personnel et mon partenaire d’affaires n’étaient pas prêts, alors j’ai continué de créer volontairement des obstacles », se souvient-il. Petit à petit, au cours des deux années de conversation, Farries a commencé à se faire à l’idée. Il était à l’aise à l’idée qu’IPC prendrait son personnel en charge et ne changerait pas considérablement la philosophie de placement de sa clientèle. Il a apprécié la flexibilité que lui procurait le fait de pouvoir rester au service de l’entreprise pendant deux ans après la vente pour soutenir son personnel et sa clientèle pendant la transition. Il était également convaincu que le conseiller chevronné qu’IPC avait trouvé pour le remplacer maintiendrait le niveau de service auquel sa clientèle s’attendait. « Il est très compétent, beaucoup plus jeune et il a de nouvelles idées. « Je me suis donc senti à l’aise lorsque nous avons conclu l’entente. »
Le moment
décisif
C’est lorsque son partenaire d’affaires, Tom, lui a dit qu’il était temps de vendre, que Farries a vraiment réalisé que le moment était venu. « Tom a dit : “Nous pouvons le faire.” Il pouvait rester et continuer de faire ce qu’il faisait. Puis, financièrement, les chiffres ont atteint un point où nous trouvions tous les deux qu’ils avaient du sens. C’est devenu concret pour moi lorsque Tom m’a dit que cela allait fonctionner. »
Il n’a pas été facile de lâcher prise. Après 25 ans comme conseiller, la clientèle de Farries était devenue comme une famille. Aujourd’hui, quatre ans après la vente, l’homme de 64 ans dit qu’il ne changerait rien. Sa femme et lui ont pu construire leur maison de rêve juste au sud de Calgary et ils reviennent tout juste d’un voyage à Hawaii. Il passe également plus de temps avec ses enfants et son petit-fils, qui aura bientôt deux ans.
Conseils pour les conseillers
Farries aimerait dire aux conseillers en début de planification de la relève de prendre leur temps. « Ne précipitez pas des choses que vous pourriez regretter plus tard. « J’ai mis deux ans à signer l’entente, et je n’ai aucun regret. »
Lorsque vous serez prêt à aller de l’avant, envisagez ces solutions de relève, qui peuvent toutes vous aider, vous, votre équipe et votre clientèle à conclure une vente réussie.